Description
Une « cartographie » complète de la voile est réalisée avec un minimum de 18 points de mesure pour une voilure principale et 75 pour une voilure de secours. La porosité est mesurée à l’aide d’un porosimètre MK2 développé avec la société Suisse JDC. Celui-ci est particulièrement adapté pour les tissus basse porosité (F-111) employés dans la fabrication des voiles de secours. |
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La capacité d’un tissu à résister aux différentes surpressions engendrées par l’ouverture, ou encore lors d’une mise en survitesse est un gage de sécurité et doit être contrôlée. En effet, les tissus d’une même voile, en fonction de leur couleur, ne veillissent pas de la même manière et peuvent selon le cas, présenter une dégradation telle qu’ils ne résistent pas à ces surpressions. |
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Bien évidemment les performances d’une voile sont également liées au calage de celle-ci et à l’état physique de son cône de suspension.
Il est donc important d’associer ce critère aux deux précédents afin d’avoir une image globale de la voile contrôlée et prendre une décision adaptée quant à son devenir.
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